«  Après avoir été animé, animateur et responsable dans divers mouvements de jeunesse, mon souhait de travailler avec les jeunes m’a amené à réaliser des études pour devenir enseignant de mathématiques. Diplômé, j’ai eu la chance d’être engagé dans une école d’enseignement technique et professionnel. Les quelques années que j’y ai passées ont été extrêmement riches, tant en termes d’expériences professionnelles qu'humaines. En parallèle, j’ai entrepris un master en sciences de l’éducation en poursuivant l’objectif de me développer au mieux dans ma posture d’acteur de l’éducation. À son terme, l’opportunité m’a été donnée de me plonger complètement dans un projet de recherche qui me passionne et cette thèse de doctorat représente beaucoup pour moi. »

« C’est une belle valorisation du travail mais c’est surtout une voix de plus accordée à ce que je défends dans mes travaux, et ce coup de pouce de visibilité participe à donner du sens à mes réflexions. »

Résumé du mémoire : L’établissement scolaire comme nouvel environnement de travail – Immersion dans le monde des enseignants de deuxième carrière (.pdf)

 

 

« En m’engageant dans mon parcours doctoral à l’UCL, j’ai rejoint le Laboratoire d’Anthropologie Prospective et le Louvain Gamelab. Fort de ces ancrages institutionnels, j’examine les jeux de rôle récréatifs organisés en Fédération Wallonie-Bruxelles en vue de déterminer leur place et leur rôle dans notre société contemporaine. Concomitamment à mes recherches, j’enseigne les sciences humaines et sociales dans un établissement qualifiant de la Région du Centre. Auprès des jeunes et de collègues, j’expérimente des pratiques pédagogiques repensées à partir de mon intérêt pour les jeux, le numérique et les questions de genre. »

«Ce soutien est précieux, entre autres, car il revêt une valeur symbolique en octroyant une légitimité au jeu de rôle comme pratique culturelle et objet d’étude. »

Résumé du mémoire : Un dernier jeu avant la fin du monde : l’exploration anthropologique d’une humanité aux marges du ludique (.pdf)

« Je suis diplômée en kinésithérapie et réadaptation depuis 2009. J’ai exercé le métier de kinésithérapeute dans des domaines plutôt variés : gériatrie, maladies neuromusculaires de l’adulte et de l’enfant, pathologies neurologiques et musculosquelettiques. Dès le début de ma formation et de mon travail, j’ai été interpelée par l’impact positif de l’exercice physique sur la mobilité et les activités quotidiennes de personnes présentant pourtant parfois d’importantes déficiences physiques. En 2018, j’ai défendu une thèse portant sur l’intérêt du reconditionnement physique dans la maladie de Parkinson. Avec l’équipe du Centre de Recherche du Cyclotron et du Département de Sciences de la Motricité de l’ULiège, nous avons mis sur pied des séances de reconditionnement physique à la manière de séances de fitness. Aider ces personnes à se dépasser et voir la fierté dans leurs regards… j’ai adoré ! Actuellement, je participe également à la formation d’étudiants en kinésithérapie de l’ULiège, et de la Haute Ecole de la Province de Liège. »

« Préparer et défendre une thèse de doctorat c'est une opportunité d'apprentissage unique. Mais la voir aboutir en projets concrets avec un impact sociétal positif serait un accomplissement. C'est pourquoi les initiatives de diffusion telles que la journée de la Recherche en FWB sont des opportunités précieuses de valoriser le fruit du travail de jeunes chercheurs.»

Résumé du mémoire : Intérêt du reconditionnement physique destiné aux personnes souffrant de maladie de Parkinson (.pdf)